Environnement, ingénierie & développement |
Les auteurs étudient la possibilité d'introduire des déchets argileux dans les bétons de bois au lieu du sable siliceux généralement utilisé. Ils montrent qu'avec une quantité de ciment relativement faible par rapport à celle qui est généralement utilisée dans les bétons de bois, on atteint des résistances mécaniques équivalentes sinon supérieures et que les performances thermiques ne sont pas altérées par le caractère hygroscopique de l'argile.